Pucon : Le paradis montagnard
Buenas Dias les Baroudeurs !
Nos deux semaines de volontariat à Curanipe nous auront bien éloigné de la folie des villes et aussi adopté un régime drastique qui nous aura bien fait perdre 5 kilos chacun.
Pour nous remettre dans le bain, notre destination suivante sera la grande ville de Concepcion d’où était originiare notre hôte Sebastian.
Deux jours de repos à Concepcion
Notre passage par Concepcion ne mérite pas qu’on s’y attarde, car peu intéressant.
En effet, nous avons rapidement visité la ville, mais la plupart du temps nous avons rattrapé notre sommeil ou testé quelques bonnes adresses. En plus, sans le savoir, nous étions en plein weekend férié et la ville était totalement vide.
Pour conclure, une grande ville chilienne sans trop de charme, mais de nombreux restaurants où bars. Idéale pour se reposer quelques jours.

Jour 1 : Arrivée à Pucon
Nous partons assez tôt de Conception pour prendre notre bus direction Pucon. Après 5h de route, nous voilà arrivés dans cette ville bien différente de celles que nous avons déjà visité.
En effet, Pucon se démarque par son atmosphère. Ses bâtiments en bois, son lac et sa population proche de la nature en font un paradis pour les amoureux de la montagne.
A la recherche d’un hostel
Nous respectons notre rituel d’arrivée et notre première destination à Pucon est donc notre hostel. Mais cette fois, nous avons encore pris le risque de ne pas réserver à l’avance. Arrivant en début d’après-midi, nous avons le temps de faire nos recherches et comparer sur place.
En sortant du terminal de bus, nous commençons nos recherches par l’avenue principale de la ville : Avenue Bernard O’Higgins. Sur cette avenue, nous passons de nombreux hôtel, mais un peu au dessus de notre budget.
Justement, dès le premier, nous rencontrons une volontaire française qui nous le déconseille et nous donne d’autres adresses. Nous continuons nos recherches et la deuxième adresse sera la bonne : le Willhouse hostel.
Le Willhouse Hostel
Ce qui nous a tout de suite plu avec cette auberge de jeunesse, c’est l’aspect extérieur du bâtiment. Entièrement construit de bois, il se fond bien dans le décor.
Ensuite, nous avons rencontré le propriétaires et les volontaires super sympas et de bons conseils. Nous nous sommes directement installés dans notre grand dortoir. En plus des dortoirs spacieux et des lits confortables, les pièces communes sont aussi très fonctionelles. Et en plus, il ya une petite cour intérieure pour les fumeurs ou juste pour partager un verre en fin de journée.
En soit, le Willhouse hostel fait parti des meilleurs hostels où nous avons séjourné. Petit hic, la basse saison commence et après 2 jours de partage et de rencontre, nous nous sommes retrouvés tout seuls dans l’hôtel. Ambiance bien plus tranquille, surtout le soir !

Petit tour en ville
Nous nous installons rapidement puis nous décidons d’aller découvrir la ville.
Nous allons tout d’abord dans le centre ville qui se compose de deux grandes rues regroupants les agences de tourismes, les magasins et les restaurants.
Justement, demain nous souhaitons gravir le Volcan Villarica, grande attraction de la ville.
Nous nous motivons donc à faire le tour des agences pour comparer les prestations et les prix. Après 5 agences et 5 discours identiques, nous faisons notre choix. Nous choisissons l’agence Patagonia Experience, plus par feeling avec le salarié de l’agence et son explication qu’autre chose. Car toutes les agences proposent plus ou moins les mêmes prix et prestations. Nous nous allégeons de 150.000 pesos (environ 190€ pour nous deux) puis préparons avec le gérant notre matériel pour le lendemain.
Après cette recherche épuisante, nous cherchons un endroit où nous restaurer. Pour manger dehors tout en respectant notre budget très sérré pour le Chili, nous trouvons une petite adresse très simple : le Tiki Burger. Et au lieu d’un hamburger, nous choississons de tester LA spécialité culinaire chilienne : la Salchipapa. Entre la poutine et le nachos, il s’agit d’une assiette de frites accompagnée de fromage, oignons, viande (souvent saucisses), guacamole… Repas très économique, mais aussi très calorique !
Pour éliminer un peu, nous finissons de découvrir la ville avant de retourner nous reposer à l’hôtel. Nous y rencontrons d’autres backpackers dont certains vont aussi monter au volcan le lendemain.

Jour 2 : Le Volcan Villarica
Cette activité est un vrai investissement, presque 100€ par personne, toutefois, nous tenions à gravir un volcan durant notre voyage et le Volcan Villarica est parfait pour notre niveau. Il est un des plus actifs du Chili et culmine à 2.850 mètres d’altitude. Il faut environ 5h pour grimper jusqu’au sommet et un peu moins pour redescendre grâce à ses toboggans naturels !
Un réveil en douceur
Ce matin là, réveil à 5h30 pour petit-déjeuner, préparer notre déjeuner à emporter et retrouver notre guide devant l’agence à 6h. Nous y retrouvons notre coéquipier de la journée, un Allemand de 28 ans professeur de ski et venu en vacance au Chili pour faire du trekking. Autant dire qu’on a pas, mais vraiment pas le même niveau ! En effet, le Volcan sera notre vrai première randonnée sportive du voyage (et pas la dernière !).
Notre guide arrive rapidement et nous remet notre matériel: piolet, crampons pour la glace, des vêtements waterproofs pour la neige, une luge pelle, un casque et un masque à gaz. Puis nous attendons quelques minutes notre van, qui arrive avec un petit groupe de 4 personnes d’une autre agence.
Pour rejoindre le point de départ de l’ascension, il faut faire environ 20 kilomètres de voiture soit un peu moins d’1 heure. Cela nous laisse le temps de récupérer quelques heures de sommeil malgrè la route montagneuse.
Un début difficile, mais on l’aura voulu !
Le début de la randonnée peut se faire de 2 manières : en prenant un télésiège ou en marchant.
Le télésiège coûte 10.000 pesos par personne (environ 12€) et permet « d’économiser » 2h de marche et donc d’énergie. A notre arrivée en bas du volcan, les guide nous demande ce que nous souhaitons faire, mais certains guide poussent un peu les personnes à prendre le télésiège. A savoir, le télésiège n’est pas comparable à ceux en France, il n’y a pas de barrière de protection donc il ne faut pas avoir le vertige !
Pour la marche, ce n’est pas de tout repos. Pour rejoindre le haut du télésiège, il faut marcher 2h dans une sorte de sable de pierres. Aussi, le chemin est très pentu donc il faut des bons mollets !
De notre côté, nous avons choisi l’option marche pour plusieurs raisons.
Tout d’abord, 12€ pour 10 minutes de télésiège d’une qualité moyenne, nous trouvions cela un peu (beaucoup) cher. Et pour nous, l’idée de gravir un volcan signifie le gravir de A à Z.
Décision prise, nous partons pour 2h d’ascension, mais avec le guide du groupe rencontré dans le van, celui de notre agence partant avec ceux en télésiège.
Nous sentons vite que les heures de marche ne seront pas de tout repos surtout au niveau du souffle. Barbie est à l’avant avec le guide pour marquer le rythme et la petite équipe suit. Notre guide n’est pas très causant et à un pas assez rapide ce qui met notre souffle à rude épreuve. Il a beau nous dire d’inspirer avec le nez et de souffler avec la bouche, nous souffrons !
A savoir :
Nous n’avions pas compris en choississant l’option marche que cela implique de rattraper le reste du groupe le plus vite possible pour ne pas les faire trop attendre en haut du téléphérique, ce qui explique le rythme soutenu.
Après avoir échangé nos impressions avec d’autres backpackeuses ayant fait l’ascencion le même jour, mais avec le téléphérique, il est difficile d’avoir un avis tranché. De notre côté, bien que physiquement ces deux premières heures ont été épuisantes, nous sommes contents de l’avoir fait. De l’autre côté, les backpackeuses étaient très contentes d’avoir économisé leur énéergie et éviter cette partie de l’ascension.
Donc cela dépend surtout de votre motivation et de votre condition physique.

En avant pour le sommet… plus en douceur.
Après 2h difficiles et éprouvantes, nous arrivons enfin au point de rendez-vous avec le reste du groupe encore tout frais. Nous reformons les groupes par agence et récupérons notre guide.
La deuxième partie de la randonnée est différente: nous marchons sur de la glace et changeons de guide !
Petite pause pour chausser nos crampons et apprendre à utiliser le piolet puis cest reparti en file indienne. Pour certains cette partie aura été très difficile, surtout à cause de l’utilisation des crampons qui alourdissent les pas. Mais pour nous, après les deux premières heures épuisantes, cela nous semble presque facile.
Concernant notre nouveau guide, il a un rythme très différent du premier. Il va doucement et fait de tout petits pas, ce qui permet d’avoir un souffle plus léger et de faire moins de pauses. Nous faisions partie des derniers groupes à partir, mais au fur et à mesure nous doublons sans problème beaucoup de groupes qui font des pauses régulières.

Dernière étape (nous y sommes presque), encore 30 minutes pour arriver près du cratère ! Après la glace, nous trouvons de grosses pierres volcaniques aux reflets dorés/argentés qui nous obligent à garder les crampons. C’est aussi un peu la queue leu leu à distance pour éviter les chutes de pierres.
Enfin ! Nous arrivons au cratère armés de nos masques à gaz, parce que ca sent fort le souffre ici ! On s’autorise à les retirer quelques seconde sous l’objectif de notre guide qui devient photographe, mais pas plus. Le cratère est très impressionant et nous sommes ravis de ce spectacle après une telle randonnée, cela vallait le coup !

Un retour en vitesse !
Nous ne restons que 10 minutes au bord du cratère, car le souffre, l’altitude et le soleil font vite tourner la tête. En redescendant, notre guide nous propose 20 minutes de pause déjeuner ce qui nous permet aussi de voir comment les autres groupes se préparent à la descente.
En effet, la descente sera très différente de la montée: sur une grande partie, nous allons utiliser des toboggans naturels ! Creusés dans la glace, ils permettent de descendre en glissant sur des luges comme un bobsleigh. Par contre, il y a des moment ou cela va assez vite et il faut freiner au piolet, donc faire attention à ne pas se le planter dans le ventre.
Nous regardons 2 groupes descendre, le guide nous fait nous exercer sur la tenue du piolet et puis notre tour arrive. Le guide est le premier à partir et chacun notre tour nous nous lançons. En tout, il y a 4 toboggans, mais ils ne nous ramènent pas tout en bas du volcan. Les deux dernières heures se font à pied dans la poudreuse. Un peu rude pour les genoux, il faut se laisser glisser, mais avec la fatigue ça devient plus difficile.
Nous voilà arriver au parking, bien fatigués, mais très contents de cette sortie qui vallait vraiment son prix !
Petit problème l’autre agence qui partage notre mini-bus à eu plus de difficiultés sur la montée et nous devons les attendre pour rentrer. Cela nous permet de nous reposer 1h au soleil, mais nous ne sommes pas mécontent de reprendre la route pour une sieste bien méritée.

Soirée repos bien méritée
De retour en ville, nous repassons par l’agence pour rendre le matériel. Et quelle surprise lorsque le gérant nous offre une bière (un soda pour ceux qui le souhaite) pour reprendre des forces et faire un debrief.
Puis, nous ne perdons pas de temps, nous retournons à l’hôtel pour nous reposer. Mais encore une fois, surprise ! Un groupe de backpackers Argentin/Uruguayen de l’hôtel s’est réuni pour chanter et boire des bières. Ils nous invitent à partager un super moment, mais la fatigue nous rattrape au bout de 1h. C’est donc le moment de faire à manger puis au dodo.
Jour 3 : Repos à Pucon
Après notre belle randonnée de la veille, nous préférons faire une journée tranquille aujourd’hui. Au programme : repos, mais pas que, nous souhaitons découvrir plus en détail le lac Villarica et nous renseigner sur comment rejoindre notre prochaine destination.
Ballade à Pucon et Lac Villarica
Le temps est toujours très ensoleillé aujourd’hui, donc nous en profitons pour aller nous ballader au bord du Lac Villarica. Un joli parc et un embarcadère habille le décor. Nous profitons de la vue, mais nous souhaitons en voir plus et d’un autre point de vue.
Par conséquent, nous décidons de longer le lac pour essayer d’avoir une vue sur la ville. Toutefois, après 10 minutes, le chemin nous éloigne du lac et nous fait atterir sur une grande route. Nous continuons sur la route dans l’espoir de trouver un autre accès plus loin. Mais après 30 minutes de marche et nous être renseigné à l’accueil d’une immense résidence privée, nous apprenons que cette partie du lac à été privatisée. En effet, seulement les hôtels et les résidences peuvent profiter du bord du lac.
Nous sommes un peu dégoutés de cette privatisation excessive et retournons en ville.

Trouver un bus… pas si facile
Nous profitons de cette journée de repos pour nous renseigner sur comment rejoindre notre prochaine destination argentine cette fois-ci : Bariloche.
En cette basse saison, il n’y a qu’une seule entreprise de transport qui propose le trajet direct Pucon-Bariloche et le prix est très élevé. La deuxième option est de faire le trajet Pucon-Osorno puis de faire un changement à Osorno pour rejoindre Bariloche ce qui pourrait faire baisser le prix.
Nous finissons pas choisir la deuxième option : rejoindre Osorno, puis voir sur place les différents bus pour rejoindre Bariloche. Nous choississons la compagnie JAC qui demande 8.400 pesos par personne (environ 11€).
Ca sera tout pour cette journée, le reste du temps, nous serons tranquillement à l’auberge qui se vide doucement.

Jour 4 : Le Parc National Huerquehue
Pour notre dernier jour à Pucon, nous suivons les conseils de notre coéquipier de Volcan et partons découvrir le Parc National Huerquehue. Le parc propose 2 randonnées bien différentes : La randonnée Cerro San Sebastian et la randonnée des Lacs.
La randonnée Cerro San Sebastian (que notre ami Allemand a fait) est un peu plus simple que l’ascension du Volcan Villarica, mais est aussi très difficile et fatiguante. Il s’agit de gravir ici un mont via un chemin de 13km qui demande au moins 8h de marche.
La randonnée des Lacs est elle plus simple, car les chemins sont en fôret et on alterne entre montées et descentes. La randonnée est de 12 km et demande au moins 7h de marche.
Contents de notre prouesse physique sur le Volcan Villarica, nous n’allons pas pousser et nous satisfaire du chemin des lacs.

Rejoindre le Parc Huerquehue
Pour rejoindre l’entrée du parc ce n’est pas bien compliqué. Il suffit de prendre un bus à 8h30 que l’on prend au 540 rue Uruguay. L’aller-Retour coûte 4.000 pesos par personne (5€). Pour rejoindre l’entrée du parc, il faut un peu moins d’1h en partant de Pucon.
A l’entrée du parc, il faut s’enregistrer au poste de sécurité et payer l’entrée qui est de 2.500 pesos par personne (environ 3€).
Conseil :
Il n’y a pas beaucoup d’horaaires de bus qui part pour le Parc Huerquehue. Par conséquent, renseignez vous bien et ne partez pas trop tard si vous souhaitez profiter de la randonnée.
Aussi, le bus de 8h30 est très vite plein, donc soyez un peu en avance pour éviter d’avoir à attendre un bus supplémentaire qui ne sera prévu qu’au dernier moment.
Une journée en fôret à découvrir les lacs
Au milieu de la nature et du silence, nous partons pour une journée de marche. Le chemin n’est pas difficile et très bien indiqué.
Entre les différents lacs, nous avons parfois la chance de s’éloigner du chemin central pour aller découvrir des petites cascades.
Pour le déjeuner, nous partageons le bord d’un lac avec une école primaire et d’autres voyageurs, puis c’est déjà le moment de finir la boucle pour ne pas louper notre bus de 16h30.

Soirée calme avant le départ
Après notre journée de marche, nous préférons passer notre soirée tranquillement à l’hôtel surtout que le départ est prévu demain très tôt.
Par contre, à notre surprise, l’auberge de jeunesse s’est totalement vidée dans la journée, il ne reste plus que nous et un autre voyageur japonais. L’ambiance est donc très très calme ce soir, mais ce n’est pas plus mal, nous allons dîner, faire les sacs, puis dodo.
Changement de plan de dernière minute.
Comme nous vous l’avons dit plus tôt, notre programme était de traverser la frontière et rejoindre Bariloche après notre séjour à Pucon. Malheureusement, nous avons dû revoir notre page et nous adapter au dernier moment.
Pas si facile d’aller à Bariloche
Très tôt le matin, nous sommes partis de Pucon pour aller à Osorno qui se trouve à 3h au sud ouest.
En arrivant à Osorno, nous sommes un peu surpris par la taille du terminal de bus qui nous paraît un peu petit par rapport à la taille de la ville et au nombre de destinations proposées. Mais pas de temps à perdre, à peine descendus du bus et nos sacs récupérés, nous allons faire le tour des entreprises de transport. Pour rejoindre Bariloche qui se trouve à 244 kilomètre, il faut compter environ 4h30 selon le temps passer à la douane.
Seulement 3 entreprises proposent le trajet pour la journée.
Deux entreprises effectues le trajet une seule fois par jour très tôt le matin et il n’y a plus de place disponible avant plusieurs jours. Pour la compagnie qui propose le trajet en après-midi, il n’y a plus de place disponible non plus pour ce jour et en plus le prix est très très élevé !
Pour résumé, il n’est pas possible d’aller à Bariloche ce jour et même s’il on attend le prix est vraiment très élevé comparé à notre passage Mendoza-Santiago. Nous prenons 10 minutes pour réfléchir calmement dans le terminal. Nous avons deux solutions : attendre à Osorno (qui ne semble pas étre une ville magnifique) pour partir un autre jour ou changer notre destination.
Savoir s’adapter… encore et toujours
Le budget au Chili étant très difficile à tenir, nous préférons être responsables et choississons de changer de destination pour le plus grand malheur de Barbie qui voulait vraiment aller à Bariloche. C’est aussi cela les grands voyages, savoir improviser et parfois abandonner certaines destinations qui nous tiennent à coeur.
Notre décision: continuer de descendre la Patagonie par le Chili. Par conséquent, nous achetons un ticket à 2.500 pesos par personne (3€) pour Puerto Montt.
Dernière petite aventure de la journée :
Nous achetons le ticket pour Puerto Montt et confirmons à la vendeuse que le bus arrive bien dans 2h au terminal de bus. Mais quelle surprise quand 1h50 plus tard, le bus n’est toujours pas là et ne semble pas arriver. Barbie retourne voir la vendeuse que nous devons arrêter le bus sur le bord de l’autoroute (OUI le Bord de l’AUTOROUTE !) à l’autre bout de la ville. Prise en pitié par un couple chilien adorable, il va nous emmener à toute vitesse au lieu-dit avec leur voiture. Et finalement, le bus aura 20 minutes de retard… plus de peur que de mal !
Vous comprenez bien que nos prochains jours seront un peu improvisés, nous allons donc revoir notre trajet et comment continuer notre traversée de la Patagonie!
A bientôt pour découvrir notre nouveau programme Chilien.
Ciao !
Nos Bons Plans sur Pucon
Où manger ?
Tiki Burger ♥♥♥♥
Une adresse pour les petits budgets et pour manger dans un style fast-food. Nous avons profité d’une promotion Salchipapa grande + 2 bières ce qui était parfait pour un déjeuner après un trajet en bus. Le personnel était très sympathique et la petite terasse au soleil bien agréable.
La promotion de Salchipapa + 2 bières était à 11.500 pesos (15€).
Adresse: Miguel Ansorena 243, Pucon, Chili
Prix: €
Site internet
Où réserver ses activités ?
Patagonia Experience ♥♥♥♥
Petite boutique perdue au milieux des géants du tourisme, mais avec un bon relationnelle et un prix satisfaisant. Les plus : un super guide/photographe et une bière fraiche surprise à notre retour.
L’ascension du Volcan Villarica nous a coûté 75.000 pesos (95€) par personne matériel compris.
Adresse: O´higgins 461, Pucon, Chili
Prix: €€€
Site internet
Où dormir ?
Le Willhouse Hostel ♥♥♥♥♥
Avec sa façade tout en bois, l’hôtel à beaucoup de charme. Les parties communes sont grandes et pratiques et pour ce qui est des dortoirs les rideaux à chaque lit offrentt plus d’intimité et de confort. Le propriétaire est souvent là et donne des conseils sur les activités à faire ou les bonnes adresses de la ville.
Petits points négatifs : douche pas toujours chaude.
Un lit dans un dortoir de 10 nous a coûté 4.400 pesos (5.50€) par nuit. Prix basse saison.
Adresse: Lincoyán 575, Pucon, Chili
Prix: €
Site internet
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